ACMP – IGEFI – Programme Master Expertise Financière

Regardez autour de vous. Le domaine de la finance d’entreprise et de marché vous appelle. Pour les jeunes universitaires discrets, avec des licences ou des maîtrises de toute discipline, écoutez!

Ce programme de Master est une voie royale, transformant ces âmes académiques en professionnels opérationnels pour l’entreprise, que ce soit en finance d’entreprise ou en finance de marché, le tout en deux années palpitantes.

Les CONDITIONS D’ADMISSION? Permettez-moi de vous les décrire:

Commencement : Les portes de l’apprentissage s’ouvriront en septembre.

Durée : Un an? Deux ans? Vous décidez! Mais attendez, il y a plus! L’apprentissage est en alternance.

La répartition de votre temps sera la suivante :
2 jours à vous immerger dans le centre de formation.
3 jours à gagner en expérience pratique en entreprise.
Ensuite, un stage à temps plein de 3 à 5 mois attend avec impatience votre enthousiasme.

Modalités de recrutement? Examens minutieux du dossier de candidature, tests approfondis.
Et pour couronner le tout, 3 entretiens détermineront votre potentiel, votre motivation et vos connaissances.

Gardez à l’esprit que cette formation a lieu à Paris, la ville des lumières. Vous devrez également vous y déplacer pour les épreuves de recrutement.

Qui est concerné par ce programme? Jeunes diplômés Bac+4 / Bac +5 licence ou maîtrise, de toutes spécialités. Et pour les professionnels en quête d’une évolution vers des fonctions de cadres financiers, c’est une chance à ne pas manquer.

Et voici le PROGRAMME:

La 1ère année, une mise à niveau individualisée qui prend en compte les acquis antérieurs de l’étudiant. C’est principalement pour les jeunes étudiants généralistes, pour acquérir les connaissances et mécanismes de base du milieu qu’ils souhaitent, à terme intégrer.

Nous nous plongeons dans un menu riche, subtil et complexe. Commençons par déshabiller les fines nuances des techniques juridiques, comptables et financières. Ensuite, un cours, aussi impératif qu’indispensable, est l’Anglais des affaires, un élément clé qui sert de langue universelle dans le monde des affaires.

Tournez la page et vous vous retrouverez face à face avec la politique de financement de l’entreprise. Un sujet délicat, mais crucial, qui dépeint les multiples voies qu’une entreprise peut emprunter pour réunir les fonds nécessaires à son expansion.

A côté de cela, les techniques d’audit et de gestion émergent comme un puissant sous-ensemble de compétences, un mélange harmonieux entre l’analyse pointue et l’application pratique.

Ensuite, place à la synthèse juridique et financière, un tour de force qui implique la fusion de deux domaines distincts pour créer une vue d’ensemble cohérente. Par la suite, nous abordons un mémoire de recherche appliquée, ce qui exige une plongée profonde dans les eaux parfois troubles de l’enquête universitaire.

Enfin, comme une cerise sur le gâteau académique, l’option d’une seconde langue vivante se présente. Un outil d’expression de plus pour le futur professionnel, s’ajoutant à sa panoplie de compétences.

Au seuil de la deuxième année, un carrefour d’opportunités s’ouvre, le moment où les étudiants se dirigent vers la spécialité de leur choix. Après un tronc commun, les chemins se divisent en deux branches distinctes – la finance d’entreprise et la finance de marché.

Ah, la finance d’entreprise! Une plongée dans les entrailles des entreprises, un examen minutieux des flux financiers qui alimentent leur croissance. D’un autre côté, la finance de marché offre une perspective plus large, où les fluctuations de l’économie mondiale ont un impact direct sur les investissements et les rendements.

Et voilà, c’est un voyage à travers le cursus académique, parsemé de complexités et de variations. Une aventure intellectuelle qui promet d’apporter une profondeur et une diversité inégalées à la formation de l’étudiant.

Dans le tronc commun : Techniques comptables, juridiques et fiscales, Gestion financière 1, Finance de marché 1, Anglais des affaires (obligatoire), Mémoire de recherche appliquée, et bien sûr, la possibilité d’une seconde langue vivante.